Infos sur la Baie Missisquoi

Pour une pelouse verte et un lac en santé

C'est le printemps et l'équipe de Conservation Baie Missisquoi vous propose des petits trucs faciles pour l'entretien de votre pelouse.

Dépliants à télécharger :


Bonne lecture!

Nathalie Fortin, prés.
Conservation baie Missisquoi

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CBM

logo CBVBM
MISSION

« Conservation Baie Missisquoi est un organisme sans but lucratif incorporé en 1989. C'est la détérioration de la qualité de l'eau de la baie Misssisquoi qui a incité ses fondateurs à s'unir pour agir. L'organisme regroupe des riverains, des pêcheurs, des amateurs de voile et de plein air, des agriculteurs et des citoyens soucieux de l'environnement.

Les objectifs fixés par Conservation Baie Missisquoi sont de prendre toute mesure visant à :
  • diminuer, enrayer la pollution dans la baie Missisquoi et ses affluents;
  • protéger le littoral, les rives, les milieux humides, les habitats des espèces rares et menacées et l'encadrement forestier, de la baie et de ses affluents, contre toute forme de dégradation;
  • informer et sensibiliser les citoyens aux questions environnementales. »
Sauvons la baie Missisquoi!, par Louis Hak, 15 août 2003


RAPPORT ANNUEL


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Le Petit Journal de Conservation Baie Missisquoi

Septembre 2004 à août 2006
(Documents Word)



En 2008


En 2007


En 2006


En 2005


MÉMOIRES
(Documents Word)


Autoroute 35
Pont Alburg Swanton
Porcheries

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Tous pour l’eau et l’eau pour tous !

PorthosProgramme éducatif
« Les Mousquetaires de l’eau claire »


La Corporation Bassin Versant Baie Missisquoi (CBVBM) poursuit cette année encore son programme éducatif sur la gestion de l’eau pour les élèves du primaire, intitulé Les Mousquetaires de l’eau claire.

Le programme Les Mousquetaires de l’eau claire s’inspire des quatre mousquetaires de l’histoire d’Alexandre Dumas. Le programme se divise en quatre grades qui sont associés à un des mousquetaires. Ainsi le Grade sur le bassin versant est représenté par le mousquetaire Porthos, le Grade sur l’écosystème aquatique par le mousquetaire Aramis, le Grade sur les utilisations de l’eau par le mousquetaire Athos et enfin le Grade sur la qualité de l’eau sera représenté par le mousquetaire d’Artagnan.


(agrandissement)

Élèves de l'école Mgr Desranleau à Bedford
Animation 2007 du grade 2 du mousquetaire Aramis
Programme Les Mousquetaires de l'eau claire de la CBVM
Julie Bellefroid, animatrice

Cette année les écoles participantes sont les suivantes : La Clé des Champs à Dunham, Le petit Clocher à Saint-Georges-de-Clarenceville, l’école Saint-Joseph à Notre-Dame-de-Stanbridge, Le Baluchon et l’Elementary School à Mansonville, les écoles française et anglaise de Sutton, l’école Premier Envol, Mgr Desranleau et Butler à Bedford, Notre-Dame-de-Lourdes à Saint-Armand et Saint-François-d’Assise à Frelighsburg.

Les animations réalisées par Isabelle Grégoire et Julie Bellefroid se font en deux temps. Une première animation se déroule à l’école pour l’ensemble des élèves, divisés en trois groupes. Quelques semaines plus tard, une seconde animation s’effectue à l’extérieur et se termine par la remise du certificat du Mousquetaire de l’eau claire.


(agrandissement)

Élèves de l'école Premier Envol à Bedford
Animation 2007 du grade 2 du mousquetaire Aramis
Programme Les Mousquetaires de l'eau claire de la CBVBM
Julie Bellefroid, animatrice

Les animations scolaires et le matériel didactique bénéficient de la participation financière du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, du Lake Champlain Basin Program, du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, du programme Pacte rural de Brome-Missisquoi, de même que des municipalités et des écoles participantes.

« Tous pour l’eau et l’eau pour tous! » C’est la devise des Mousquetaires de l’eau claire, Compagnie de Champlain.

Chantal d’Auteuil, directrice générale
Corporation Bassin Versant Baie Missisquoi
Le 4 avril 2008 -



DOCUMENTS

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La lisière verte à La semaine verte

Si vous avez raté le reportage de La semaine verte entièrement consacré au projet Lisière verte du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation avec la Coopérative de Solidarité du bassin versant de la rivière aux Brochets, vous pouvez le visionner en ligne sur le site de radio-canada.ca. Outre Richard Lauzier, agronome en charge du projet, le documentaire nous permet d'entendre les témoignages de Pierre Leduc, président de la Corporation bassin versant baie Missisquoi et d'Ernest-William Gasser, président de la Coopérative de Solidarité.

La bande riveraine est-elle le meilleur outil pour lutter contre la pollution de l'eau par le phosphore?

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Mémoire de Renaissance Lac Brome à la MRC Brome-Missisquoi

Dans le cadre de la consultation menée par la MRC Brome-Missisquoi devant mener à la formulation du plan stratégique 2008-2014, Renaissance Lac Brome (RLB) a préparé un court mémoire faisant état des préoccupations des membres concernant la qualité de l'eau, la santé publique, l'achalandage touristique, la valeur des propriétés et la vie communautaire.

RLB a aussi proposé des orientations précises et des actions concrètes que la MRC devraient mettre de l'avant :

RLB souhaite que tous les intervenants de la MRC et des MRC voisines se donnent une vision et des orientations qui pourraient s’articuler autour des idées suivantes :

• Le respect des règlements en vigueur
Les solutions pour assurer un environnement de qualité sont bien connues. Les difficultés résident souvent dans la mise en place et dans l’application. Beaucoup de règlements existent, au sein de chacune des municipalités de la région. Cependant, plusieurs de ces règlements ne sont pas appliqués, faute de moyens financiers, de moyens matériels ou de ressources humaines. Il faut trouver des moyens pour appliquer les règlements et sanctionner les délinquants et faire comprendre que notre région ne prend pas à la légère les gestes irresponsables au plan environnemental que ce soit le non-respect des bandes riveraines, l’érosion des sols, l’abattage des arbres, le non-contrôle des contaminants, phosphore ou autres, la non-conformité des installations septiques. Les meilleures pratiques environnementales, en premier par les corps publics, par exemple pour l’aménagement des fossés de route (« l’utilisation de la technique du dernier tiers ») devraient être appliquées.

• L’interdiction de tout fertilisant sur les pelouses
Les contaminants, en particulier, les apports de phosphore, doivent être contrés de toutes les façons possibles. Toute source de contamination doit être identifiée et enrayée, idéalement de manière volontaire, sinon de manière réglementaire. Dans notre région, il est hautement souhaitable que l’utilisation des fertilisants, spécialement ceux de synthèse, soit interdite sur toute pelouse. Il n’y a pas de raison pour qu’une telle réglementation ne soit pas mise en vigueur dès 2008 dans l’ensemble des municipalités de la MRC. Évidemment, ce premier aspect de la réglementation des fertilisants devra être complété tout au long du quinquennat par des mesures progressives englobant d’autres dimensions de la question.

• Une philosophie de reddition de comptes
La MRC de même que les municipalités doivent de plus en plus développer une meilleure reddition de comptes en matière environnementale. Un plan stratégique quinquennal ne peut avoir de valeur si les objectifs visés ne sont pas mesurés et si les autorités ne rendent pas des comptes régulièrement à la population. La reddition de compte devrait être annuelle et devrait porter sur l’atteinte ou non des objectifs visés au plan quinquennal. À cet égard, nous voyons comme souhaitables des mesures portant sur la gestion des ouvrages municipaux de traitement des eaux usées (les surverses), sur la conformité des installations septiques, sur le contrôle de la saturation des sols, sur les teneurs en phosphore dans les cours d’eau, sur
l’érosion des sols. Certaines des initiatives proposées impliquent de nouveaux dispositifs de mesure et de contrôle.

• La gestion par bassin-versant et par sous-bassin versant
La mise en application de mesures coordonnées et efficaces à l’échelle d’un plan d’eau pose la question de la coordination et de la gestion de la contribution de tous les intervenants. Cette coordination doit dépasser les limites administratives, certes logiques au plan de la gestion, mais souvent totalement inefficaces sur le terrain. La nature ignore les règles et les organismes mis en place par les bureaucraties. Pour marquer des points efficacement, il faut de plus en plus imaginer et convenir de mécanismes de gouvernance englobant toutes les problématiques pertinentes à un plan d’eau en particulier et ayant donc comme dénominateur commun le bassin versant. En 2008, un projet pilote pourrait être mis de l’avant pour développer des mécanismes de gouvernance incarnant concrètement la notion de gestion par bassin-versant pour l’un ou l’autre de nos plans d’eau que ce soit la baie de Missisquoi, le lac Brome, le lac Davignon ou tout autre.

• La protection, le reboisement et la renaturalisation des rives des cours d’eau
Les rives et les berges doivent bénéficier de leur couvert naturel de végétation, celui-ci agissant comme agent stabilisateur des berges, comme agent filtreur pour les sources de contamination et comme réserve faunique. Des travaux collectifs d’envergure sont requis pour donner suite à cette orientation. 2008 devait voir des projets de reboisement dans les affluents des cours d’eau de la région.

• L’économie d’eau
Il faut de plus en plus assurer un meilleur usage de l’eau potable et s’engager dans un programme d’économie d’eau, portant par exemple sur les réservoirs de chasse d’eau (6 litres versus 13 litres), l’installation de têtes de douche performantes et de robinets avec aérateurs. De très nombreux bénéfices pourraient découler d’une telle initiative dont entre autres la diminution des charges sur les systèmes de traitement des eaux usées et le prolongement de la vie de ces infrastructures coûteuses.

• Le comportement écologique citoyen
Des campagnes d’information et de sensibilisation sont nécessaires pour continuer à informer nos concitoyens des enjeux soulevés par la mauvaise qualité de l’eau. Des campagnes d’information à la grandeur de la MRC sont requises pour les questions touchant l’utilisation des fertilisants, des savons sans phosphate, de la protection des rives. Le comportement responsable et écologique fait partie des cibles à atteindre pour que les changements souhaités soient durables.

• La coordination des mesures de protection, de réglementation, de contrôle
La situation actuelle est telle que chaque municipalité est amenée à réglementer et lancer des initiatives sans disposer d’un plan et d’une stratégie d’ensemble où la protection de l’environnement occupe une place prédominante. Il est de plus en plus essentiel qu’une coordination soit faite tant au plan de la réglementation que des mesures de protection et de suivi scientifique de nos plans d’eau (protocoles de suivi, processus de prise de décision avant les avis de santé publique, etc.). La MRC, de concert avec le COGEBY, peut prendre à cet égard un certain leadership en offrant notamment des services communs : partage de réglementations, expertises techniques, protocoles de suivi des plans d’eau, matériel d’information, pépinière, etc.

• Une politique de gestion des eaux de ruissellement et ses conséquences sur les plans d’aménagement d’ensemble et le plan d’intégration et d’implantation architecturale
Le schéma d’aménagement et de développement du territoire (et au plan local les règlements municipaux d’urbanisme) doit intégrer les préoccupations de gestion des eaux de ruissellement et comporter des mesures contraignantes visant à assurer l’application des dernières connaissances en la matière, dans les projets de construction résidentielle et commerciale. La philosophie d’aménagement du territoire doit prendre en compte la protection du milieu et faire en sorte que les développements immobiliers et l’urbanisation respectent les orientations de la région en la matière de façon à ce que le développement du territoire se fasse en harmonie avec la protection de l’environnement. À cet égard, la démarche proposée par le GRAPP est intéressante. L’intégration de mesures de protection des milieux humides dans les plans d’urbanisme des municipalités doit aussi être recherchée. Finalement, il serait très important que les notions de « capacité de support » des plans d’eau et d’urbanisation /densité d’habitation soient prises en compte lors des décisions d’aménagement du territoire.

• Une politique de soutien aux organismes de proximité
La protection et la restauration de l’environnement ne peuvent se faire sans une forte implication des milieux locaux. Appuyés par des mesures d’encadrement et une solide coordination, les organismes du milieu sont les mieux placés pour mobiliser la population, créer une plus grande conscience quant aux bonnes habitudes et aux façons de faire respectueuses de l’environnement. Or, ces organismes sont la plupart du temps des organismes bénévoles. Ils ont besoin d’un soutien concret au plan financier et au plan technique. La MRC devrait se donner une politique plus articulée en matière de soutien de ces organismes de proximité, dédiés à la protection de l’environnement. RLB est convaincue que l’action conjointe des citoyens organisés en association, de concert avec les municipalités et les instances régionales, peut décupler les forces et accroître considérablement la portée des gestes environnementaux.

• Toutes les autres initiatives consacrées à l’environnement
Le respect de l’environnement occupe déjà une place importante dans les politiques publiques. Elles doivent à l’évidence être renforcées et mieux soutenues. RLB souscrit aux projets de compostage, de recyclage, de gestion des sites d’enfouissement, de gestion des eaux usées et encourage la MRC à renforcer leur application.



On peut télécharger le mémoire sur le site de RLB

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Cleaning up the Pike River - Millions for sewage, drinkable water

Life along the Pike River is going to get a little cleaner following the announcement Monday of sewage and water upgrades in Frelighsburg, Stanbridge East and Notre-Dame-de-Stanbridge.

“This file is one of our most important files for the quality of the Pike River and Missisquoi Bay,” said Brome-Missisquoi Liberal MNA Pierre Paradis at a press conference in Frelighsburg. “It affects the quality of life of thousands and thousands of people.”

Joined by member of Parliament Jacques Gourde, Paradis held separate press conferences in each of the three affected towns. In all over $9.7 million worth of infrastructure work will be done over the next couple of years, providing the three villages with proper municipal sewage systems for the first time.

In Frelighsburg a total of $4.4 million will be spent on both sewage and on providing the village with potable H2O. The town has been under a drinking water advisory ever since its well was declared contaminated in the summer of 2006.

Some $400,000 has been earmarked to cover the costs of finding a source and connecting it to the existing municipal system. Much of that work has already been done, and testing is now underway to ensure the new source has enough capacity to supply 95 residences (and their 275 residents) and about a dozen businesses in the village.

“Here we had no proper drinking water in the prettiest village in all of Quebec,” Paradis noted.

Frelighsburg Mayor Gilles Chabot said the sewage project was first put on the table a couple of years ago. In the meantime the water problem cropped up, so the town made a single request to cover both projects.

The sewage system project will likely take a little longer to complete. Chabot said the municipality is still considering which system to use. A location for the treatment facility hasn’t been established either.

“It’s a balance of finding the most ecological system for the best price,” he said.Chabot said the location will be determined by the fact that the village is in a valley, and that some spots are in flood zones.

The projects will see the federal and provincial governments put in $1,561,667 each, with the municipality adding another $1,276,666 to the pot. Chabot noted that’s a lot of money for a small village, an average of $4,642 per person. Work on the sewage system is expected to be completed by March 31, 2009.

The project may also see some outlying residents who won’t be connected to the system having to upgrade their septic systems.

Stanbridge East
Downstream in Stanbridge East another $1.7 million will be spent to establish a sewage system. Through the Municipal Rural Infrastructure Fund, Quebec and Canada will each put up $664,917, while another $420,166 will be contributed by Stanbridge East.

The system will gather and collect sewage along 1,445 metres in the heart of the village. A pumping station will get it to the treatment facility, where an ultraviolet light system will be used to remove phosphates and disinfect the sewage. In all some 195 people will be on the system.

Notre-Dame-de-Stanbridge
A few kilometres further down the Pike River, Notre-Dame-de-Stanbridge will have just over $3.6 million worth of work done so that the village will become more environmentally friendly. In all some 3,140 metres of sewage lines will be installed, connecting some 402 residents to a new sewage system. The system itself will include pumping stations and an aerated pond treatment system.

The municipality will itself contribute $922,544 to the project, while the federal and provincial governments will each put up $1,352,083 under the infrastructure program.

“It is an important day for the population of Brome-Missisquoi,” Paradis said. “It is also important for our neighbours in Vermont and New York.”

Paradis noted that a number of efforts have been made to clean up the water going into Lake Champlain’s Missisquoi Bay in recent years, from new farming practices to better municipal sewage systems to the creation of an ecological reserve in St-Armand and the removal of part of the Alburg-Swanton causeway, which improves water flow. The result: While many Quebec lakes were plagued by blue-green algae, Missisquoi Bay remained relatively algae-free.

“When you add up all of these actions, you get results,” Paradis said.

By Maurice Crossfield
The Sherbrooke Record, Jan. 15

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